Pour ou contre l'euthanasie ?

Je lance ici le débat qui fait déjà rage dans votre pays :

Etes-vous pour ou contre l'euthanasie ?

Je suppose que vous avez tous entendu parler de "Chantal Sébire" cette dame atteinte d'une tumeur incurable qui lui déformait le visage.

Chez nous en Belgique l'euthanasie est permis je suis donc de ceux qui pense que c'est quelque chose de très bien de pouvoir mourir dignement.

Quand je vois ce que cette dame enduré, la souffrance qu'elle avait ... je ne comprend même pas comment on a pu lui refuser ça.

Suite à l'enquête ils ont trouvé qu'elle c'était suicidée (alors qu'elle était totalement contre, elle a donc du aller en travers de ces idées) avec de la barbiturique et maintenant il y a une enquete pour savoir qui lui en a fourni :/




C'est scandaleux quand on sait que lorsqu'un animal souffre on dit toujours "il vaut mieux le piquer il souffre de trop"
Pourquoi un animal aurait le droit de ne plus souffrir et pas un être humain ?

Pourquoi être contre l'euthanasie ?
C'est religieux ? (genre seul dieu peut retirer la vie à quelqu'un)

Enfin voilà le débat est lancé

Moi j'suis pour ...

Je pense que s'il y a une telle polémique c'est parce qu'ils ont peur que ca se fasse trop sans reflehir. Par exemple quelqu'un atteint d'une maladie qui le fait souffrir pourrait etre euthanasié s'il le demandait mais peut etre aurait il tort parce qu'il pourrait etre guerri par un nouveau médicament miracle( bien que ce soit rare). Ou bien ils pourraient servir de "cobaye" pour tester de nouveaux médicaments. Ce sont des arguments qui peuvent tenir la route, je pense, mais je pense surtt que chaque etre mérite de choisir ce qu'il pense etre le meilleur pour lui.

Et je trouve ca aussi délirant que les animaux puissent etre piqué mais pas les etre humain. Ca veut dire que l'on concidere la vie d'un animal comme inferieur à celle de l'homme, et c'est affreux.

leelooow a écrit:

Ou bien ils pourraient servir de "cobaye" pour tester de nouveaux médicaments.

Je suis pas certains qu'un humain à pour role de servir de cobaye pour savant fou ...
Je suis déjà contre les tests sur les animaux, alors sur les humains ...

Sinon (pour le cas de la dame ci dessus) c'était une maladie incurable qui la faisait souffrir depuis 7ans, c'est pas un truc pris à la légère je pense ...

Oui c'est clair.

Je tiens juste à préciser que les avis "contre l'euthanasie" que j'ai donné font parti des choses que j'ai déjà entendu dire. Moi je suis absolument contre

Très souvent les avis " contre l'euthanasie" sont assez égoïstes. Les gens oublie de se mettre à la place des patients.

Et l'un des problème de l'euthanasie est de savoir à partir de quand peut on accepté l'euthanasie ? Il y a enormément de risque, il ne faut pas que ce soit fait à la legere. C'est pas parce que le patient, sur le oup de la douleur ( admettons passagère) veut se faire euthanasier qu'un medecin doit l'autorisé.

Moi c'est le truc qui me fait peur, que ce soit fait sans reflechir et que les medecin en "profite" parfois.

Après je pense que les gens ont le droit de decidé d'arreté de souffrir. Et je trouve ca horrible de se dire qu'une personne est obligé de se suicidé parce que l'euthanasie est interdit, bien que l'euthanasie soit une forme de suicide. Et je trouve c inconcevable qu'ils n'aient pas accepté de l'euthanasié. A partir du moment ou il y a une forte demande, cela ne devrait pas etre refusé.

MissDuCube a écrit:

leelooow a écrit:

Ou bien ils pourraient servir de "cobaye" pour tester de nouveaux médicaments.

Je suis pas certains qu'un humain à pour role de servir de cobaye pour savant fou ...
Je suis déjà contre les tests sur les animaux, alors sur les humains ...

Mais à la différence des animaux, les humains ont leur mot à dire

En ce qui concerne le débat, je suis pour une euthanasie très réglementée, afin d'éviter toute dérive : dans certains cas seulement (afin que ça ne devienne pas une manière de se suicider sans trop de risque -__-), précisés, genre maladie incurable, irréversible, douleurs trop grandes, état qui nécessite la présence de quelqu'un à ses côtés H24 (je pense ici à Vincent Imbert)... Puis, bien sûr, que le patient en effectue la demande, signe une décharge alors qu'il est conscient et en pleine possession de ses moyens intellectuels. Si ce n'est pas le cas, je suis pour faire signer un papier à des patients (s'ils le souhaitent, évidemment) avant qu'ils ne sombrent dans l'inconscience, s'ils sont atteints d'une maladie dont on connait l'évolution irrémédiable... Bref, vous voyez où je veux en venir ? En dernier recours, si le patient est dans un coma irréversible (suite à un accident...), la famille doit avoir son mot à dire.

Bref, j'arrête là parce que je suis pas certaine d'être bien comprise


Enfin, il ne faut pas oublier qu'"euthanasie" vient du grec et signifie "mourir sans douleur" (ou un truc du style)...

Pour. Pas besoin d'expliquer, la pitié est un sentiment humain.

Je pense comme toi Miss Choco.

Miss Choco a écrit:

MissDuCube a écrit:

leelooow a écrit:

Ou bien ils pourraient servir de "cobaye" pour tester de nouveaux médicaments.

Je suis pas certains qu'un humain à pour role de servir de cobaye pour savant fou ...
Je suis déjà contre les tests sur les animaux, alors sur les humains ...

Mais à la différence des animaux, les humains ont leur mot à dire

Oui et c'est pour ça que les essais cliniques existent, ont leur propre réglementation, mise en place par des organismes précis! Bon après y'a toujours quelques dérives, du genre, effet secondaires tus avant la mise sur le marché, genre Distilbène, mais c'est pas le sujet

Miss Choco a écrit:

Bref, vous voyez où je veux en venir ? [...] Bref, j'arrête là parce que je suis pas certaine d'être bien comprise

Non non rassure-toi, tu as été parfaitement claire (on voit bien la littéraire ici et selon moi tu as dit l'essentiel!
Je rajouterai juste un truc : avant de réfléchir à un quelconque projet de loi là-dessus...interdire de parole les folles comme Christine Boutin!

ben moi j'appelle carrement pas ca de l'euthanasie dans le sens ou elle etait pleinement consciente

pour moi euthanasier quelqu'un c'est quand il n'a pas son mot a dire que la non elle voulait mourir,elle voulait seulement etre aidee ,c'est different

alors on va dire que je suis pour le suicide assiste,des fois j'aimerai que ca soit comme en suisse

Shangora a écrit:

(on voit bien la littéraire ici

Arf, je suis démasquée

Déesse de la Lune a écrit:

Je rajouterai juste un truc : avant de réfléchir à un quelconque projet de loi là-dessus...interdire de parole les folles comme Christine Boutin!

Bien dit

ça m'fait penser à Million Dollar baby, quand elle lui demande de lui enlever le tube à la fin du film...

J'ai d'abord voté "je ne sais pas" puis en lisant vos messages, j'me dit qu'j'aurais peut-être du voter "pour".
Comme pour Miss Choco, je penses que ça doit être règlementé pour éviter les dérives.

Sinon, pour ce qui est de l'analogie faite avec les animaux, c'est vrai qu'je n'y avais jamais pensé, mais c'est vrai... Pourquoi est-ce qu'on aurait le droit de décider de la mort d'un animal domestique et pas der celle d'un humain ?
Je poses la question mais je connais la réponse... On vit dans une société où l'h'éritage de la pensée Platonicienne et de la religion Chrétienne est encore trés marqué. Hors, dans une telle société, on considère que si les animaux ne savent pas parler c'est qu'ils n'ont pas d'âme et s'il n'ont pas d'âme, ils sont nécessairement inférieur aux Hommes donc... Pas les mêms droit.
... On dirait pas comme ça, mais ce point de vue perdure depuis plus de 2000 ans.

Si mon chat avait pu parlé, peut-être qu'il nous aurait dit : "Ne me tuez pas maintenant. Je souffre mais je veux rester encore un peu en vie".
Quand j'y penses...

Euthanasie : de la loi à la pratique

La Belgique est, après les Pays-Bas, le 2e pays au monde à avoir dépénalisé l'euthanasie.
Le droit de mourir dans la dignité et la loi ne font pas partout bon ménage.
En Belgique, à la Chambre, le projet a été voté par 86 oui, 51 non et 10 abstentions et il exprime, même s'il est imparfait, la reconnaissance du droit fondamental de chaque être humain de rester maître de ses choix de vie et de mort.

Contours de la dépénalisation :

L'euthanasie est définie comme étant l'acte, pratiqué par un tiers, qui met fin intentionnellement à la vie d'une personne à la demande de celle-ci.
La demande peut être formulée sur le moment même ou de manière anticipée.
Cet acte est constitutif d'infraction sauf s'il est pratiqué par un médecin dans le respect de certaines conditions et selon une procédure définie.

Le patient est conscient au moment de sa demande

Trois conditions :

1. le patient est majeur (ou mineur émancipé) capable et conscient au moment de sa demande;

2. celle-ci est formulée de manière volontaire, réfléchie et répétée et ne résulte pas d'une pression extérieure

3. le patient se trouve dans une situation médicale sans issue et fait état d'une souffrance physique ou psychique constante et insupportable qui ne peut être apaisée et qui résulte d'une affection accidentelle et pathologique grave et incurable.

Une procédure strictement définie à respecter par le médecin :

* informer le patient de son état de santé et de son espérance de vie, se concerter avec lui sur sa demande d'euthanasie et évoquer avec lui les possibilités thérapeutiques encore envisageables ainsi que les possibilités qu'offrent les soins palliatifs et leurs conséquences, tous deux doivent arriver à la conviction qu'il n'y a aucune autre solution raisonnable

* s'assurer de la persistance de la souffrance du patient et de sa volonté réitérée en menant à cette fin plusieurs entretiens espacés d'un délai raisonnable au regard de l'évolution de l'état du patient

* consulter un autre médecin indépendant et compétent dans la pathologie concernée qui donnera son avis dans un rapport sur le caractère grave et incurable de l'affection et communiquer cet avis au patient;

* s'entretenir le cas échéant de la demande avec l'équipe soignante en contact régulier avec le patient

* à la demande du patient, s'entretenir avec les proches qu'il désigne;

* s'assurer que le patient a pu s'entretenir de sa demande avec les personnes qu'il souhaitait rencontrer;

* s'il apparaît que le décès n'interviendra pas à brève échéance :

° consulter un deuxième médecin indépendant, psychiatre ou spécialiste de la pathologie concernée qui donnera son avis dans un rapport tant sur le caractère grave et incurable de la pathologie que sur du caractère volontaire réfléchi et répété de la demande et communiquer ce second avis au patient;

° laisser s'écouler un mois entre la demande écrite du patient et l'euthanasie;

* la demande doit être rédigée, datée et signée par le patient ou, s'il n'est plus en état de la faire par une personne majeure choisie par lui qui n'a aucun intérêt matériel au décès et ce, en présence du médecin. Cette demande peut être révoquée à tout moment par le patient;

* constituer un dossier médical.

Déclaration anticipée :

Tout majeur (ou mineur émancipé) capable peut, pour le cas où il ne pourrait plus manifester sa volonté - parce qu'il se trouve dans le coma par exemple - consigner par écrit, dans une déclaration, cette volonté qu'un médecin pratique une euthanasie si 3 conditions sont réunies :

* il est atteint d'une affection accidentelle ou pathologique grave et incurable;
* il est inconscient;
* cette situation est irréversible selon l'état actuel de la science

La déclaration est établie en présence de 2 témoins majeurs dont l'un au moins n'aura pas d'intérêt matériel au décès. La déclaration peut désigner une ou plusieurs personnes de confiance majeures qui mettront au courant le médecin traitant de la volonté du patient et qui seront donc également signataires de cette déclaration. Elle ne sera prise en compte que si elle a été rédigée ou confirmée moins de 5 ans avant le début de l'impossibilité de manifester sa volonté et peut être retirée à tout moment.

La procédure décrite ci-avant doit être respectée, la personne de confiance étant alors l'interlocuteur du médecin.

Contrôle
Le médecin qui a pratiqué une euthanasie doit informer dans un délai de 4 jours la "commission fédérale de contrôle et d'évaluation" composée de 16 membres (médecins, professeurs de droit ou avocats, praticiens des milieux chargés de la problématique des patients atteints d'une maladie incurable ).

Le médecin doit établir un rapport complet en 2 volets dont un est scellé; il contient les données permettant l'identification du patient et de l'ensemble des intervenants. L'anonymat ne sera levé que si la commission estime qu'un doute existe sur le respect des conditions et de la procédure. Si le doute se confirme après examen du 2e volet, le dossier est communiqué au Procureur du Roi.

En pratique
Avant la promulgation des arrêtés royaux d'exécution, cette situation ne pouvait guère trouver d'écho en pratique à défaut de précision quant à la déclaration anticipée et quant à la constitution de la commission de contrôle et d'évaluation. C'est chose faite depuis février et avril 2003.

La déclaration anticipée
L'arrêté royal d'exécution du 2 avril 2003 fixe les modalités suivant lesquelles la déclaration anticipée relative à l'euthanasie est rédigée, reconfirmée, révisée ou retirée. Un modèle est joint en annexe de cet arrêté publié au Moniteur belge du 13 mai 2003, il peut donc être retiré sur le site du Moniteur belge (via www.just.fgov.be) ou encore obtenu auprès de l'ASBL pour le Droit de Mourir dans la Dignité (ADMD) asbl (rue du Président, 55 - 1050 Bruxelles - tél. 02.502.04.85 +- fax 02.502.61.50 - mél : info@admd.be)

Ce modèle doit exclusivement être utilisé comme exemple et repris de manière manuscrite ou dactylographiée. Il se compose de 2 rubriques : les données obligatoires (volonté explicite +manifestée librement de voir pratiquer une euthanasie dans les conditions fixées par la loi - données personnelles telles que nom, prénom, adresse, lieu +et date de naissance, numéro de registre national et coordonnées de 2 témoins) et les données facultatives (mention de la ou les personnes de confiance qui seront associées à la procédure et qui pourront préalablement jouer un rôle important en ce qui concerne la connaissance de l'existence de la déclaration +anticipée)

Enfin, la déclaration mentionne le nombre d'exemplaires rédigés et l'endroit où ceux-ci sont conservés, la date et l'endroit où la déclaration a été rédigée, la signature de toutes personnes intéressées (requérant, témoins et personnes de confiance).

La reconfirmation se fait sur base des mêmes modalités.

La révision ou le retrait n'est soumis à aucune modalité; il peut être formulé verbalement par exemple lors d'un ultime moment de lucidité

Aucune publicité n'est prévue (par exemple une mention au registre national) , l'intéressé doit veiller lui-même à ce que la déclaration soit connue (par l'intermédiaire des personnes de confiance à qui un exemplaire sera remis) et il est ainsi recommandé d'en informer son médecin traitant.

Si pour une raison médicale, l'intéressé n'est plus physiquement apte à écrire +(paralysie par exemple) la déclaration peut être complétée et signée par une personne majeure de son choix qui n'a pas d'intérêt matériel au décès et qui remplira le cadre II B du modèle en joignant un certificat médical attestant de l'incapacité de l'intéressé.

Night a écrit:

pour moi euthanasier quelqu'un c'est quand il n'a pas son mot a dire

Ca c'est un meurtre

non,regardez,ma grand mere etait presque inconsciente a l'hopital et ils ont decide de plus la nourrir ni de lui donner de medocs c'est comme ca que l'on decide de" tuer" les gens a l'hopital
c'est pas eux qui appuient sur un bouton pour faire le compte a rebourd fatal tu vois ce que je veux dire?

Oui je vois tres bien mais ils font ça justement parce que l'euthanasie n'est pas permis chez vous.

Alors entre "laisser s'éteindre les gens" et les "laisser décider de quand, où et comment" j'ai tout de suite fait mon choix

Moi je ne suis pas contre... mais je ne suis pas pour non plus.
La légalisation exclura des gens qui se sentiront légitime pour avoir accès à cette méthode mais qui ne rentreront pas dans les conditions établies et il se sentiront, sans doute à juste titre, lésés alors que leur situation sera tout aussi pénible pour eux.
Cela créera donc une sorte d'inégalité face à la mort qui ne me semble pas très judicieuse.

Après c'est sur que dans certains cas, l'euthanasie est une très bonne "issue" mais bon... je crois qu'il faut un long débat entre hommes de lois et médecins pour pouvoir se mettre d'accord sur tout ça.

Bien sûr, on a tous, ou presque tous, envie de voir la légalisation de l'euthanasie parce qu'on se dit "et si ça m'arrivait à moi ?", seulement je crois qu'il faut prendre des décisions sans se poser cette question sinon on pourrait très bien en arriver à rétablir la peine de mort en se disant: "Et si on devait exécuter quelqu'un qui a tué un membre de ma famille ?".

En même temps je suis pour la peine de mort ...
Donc bon ...
Je sais que ça choque beaucoup d'entre vous, mais il y a certaines personnes qui encombrent les prisons (Dutroux, Fourniret et compagnie).
Je ne parle même pas des gens qui ont tué une personne mais bien les serial killer, les tueurs/violeurs d'enfants ...

Bref pour en revenir au sujet :
J'ai copier coller une article sur la loi belge sur l'euthanasie (en 1ere page) et on voit bien que ça ne se décide pas "comme ça".

Oui bien sûr que l'euthanasie est encadrée en Belgique et en... c'est Suisse l'autre pays ou les Pays-Bas ? (je me souviens plus) et heureusement d'ailleurs !
Ce ne sont pas les dérives que je crains, je pense pas que les médecins vont se mettre à piquouser tout le monde sous couvert d'euthanasie mais comme je l'ai dit, il y aura sans doute des gens qui penseront que leurs cas mérite l'euthanasie sans que pourtant ils entrent des les conditions pré-requises.
D'où une certaine inégalité face à la mort.
C'est le seul point négatif qui me vient en tête mais je le considère comme important tout de même.

Après quand j'entends des gens dire (comme la dernière fois dans l'émission de Ruquier, par un chroniqueur: Zemmour pour ceux qui connaissent) que c'était à Dieu de décider quand on devait mourir... ça je n'accepte pas !
On ne peut pas légiférer en fonction de croyances religieuses sinon c'est une entrave à la laïcité !

Donc je le redis, je suis ni pour ni contre. Je pense juste que la légalisation doit être murement réfléchie et non pas prise sous le coup de l'émotion à la suite de la situation de Chantal Sébire.

Tu as raison quand tu dis que certains vont se sentir lésés mais je pense que c'est comme dans tout si on explique que ils ne correspondent pas et que c'est la loi ils seront obligés de s'y faire.

Moi aussi comme toi Damian je suis contre le fait de dire qu'il n'y a que dieu qui a le droit de retirer la vie ...
Quand on voit certaines personnes souffrir et que l'ont sait que ça ne se guérira jamais je pense que Dieu a oublié le bouton off ...

Oui ils seront obligés de s'y faire mais on créera une sorte d'inégalité dans ce cas là ! C'est ça qui me dérange un peu.
Mais je suis conscient que l'euthanasie arrangerais des cas désespérés en contre-partie.

Concernant Dieu, à mon avis il n'a pas pu oublier le bouton Off car je considère qu'il n'existe pas lol
A partir de là, difficile de dire qu'on doit lui laisser le droit de décider qui doit vivre et qui doit mourir.

Je suis athée mais c'était pour faire une petite feinte concernant le bouton off

Il y a encore une dame qui a fait une demande d'euthanasie et qui a fait une lettre à Sarko. Peut etre que ca va faire bouger les choses .... ou bien je reve ...

une nouvelle?moi je suis pas en france pour le moment, je ne suis pas les actualites

Mdr y'a des journaux sur le net tu sais Night